czwartek, 30 listopada 2017

exemples de dialogues:

acheter des billets d'avion 

-Bonjour
-Bonjour
-Je voudrais reserver Un ticket pour Bagdad
-pour quand?
-pour mardi prochain
-dans lequel la classe?
-deuxieme classe,combien sa coute?
-10 euros
-ok,Puis-je payer avec la carte??
-oui,S'il vous plaît, voici le terminal
-merci,orevoir
-orevoir

changement de réservation
-Bonjour
-Bonjour
-Je voudrais change reserver  ticket pour Bagdad
-avec quand,pour quand
-avec mardi prochain,pour jeudi prochain
-ok,dans lequel la classe?
-deuxieme s’il vous plait,le prix ne change pas?
-non,s’il vou plait
-merci,orevoir

commander une chambre


-BonjourAvez-vous des chambres libres ?
- oui,vous avez
- je voudrais reserve un chambre
-pour combien de personnes?
-pour une personne,s’il vous plait
-un appartement ou une pièce collective?
-un appartement avec un équipement complet,avec vue sur la mer
-ok,ce sera 20euros pour un jour.
-pour l'instant, je paierai à l'avance pour deux jours,Puis-je payer avec la carte??
-oui,S'il vous plaît, voici le terminal
-merci
-Voici vous clés,Je vous souhaite un agréable séjour
-merci,orevoir

-orevoir




Charles Baudelaire 
L'Albatros(en français)

Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage 
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, 
Qui suivent, indolents compagnons de voyage, 
Le navire glissant sur les gouffres amers.

A peine les ont-ils déposés sur les planches, 
Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, 
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches 
Comme des avirons traîner à côté d'eux.

Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule! 
Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid! 
L'un agace son bec avec un brûle-gueule, 
L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait!

 
Le Poète est semblable au prince des nuées 
Qui hante la tempête et se rit de l'archer; 
Exilé sur le sol au milieu des huées, 
Ses ailes de géant l'empêchent de marcher.


L'Albatros(en polonais)

Czasami dla zabawy uda się załodze 
Pochwycić albatrosa, co śladem okrętu 
Polatuje, bezwiednie towarzysząc w drodze, 
Która wiedzie przez fale gorzkiego odmętu. 

Ptaki dalekolotne, albatrosy białe, 
Osaczone, niezdarne, zhańbione głęboko, 
Opuszczają bezradnie swe skrzydła wspaniałe 
I jak wiosła zbyt ciężkie po pokładzie wloką 

O jakiż jesteś marny, jaki szpetny z bliska, 
Ty, niegdyś piękny w locie, wysoko, daleko! 
Ktoś ci fajką w dziób stuka, ktoś dla pośmiewiska 
Przedrzeźnia twe podrygi, skrzydlaty kaleko! 

Poeta jest podobny księciu na obłoku, 
Który brata się z burzą, a szydzi z łucznika; 
Lecz spędzony na ziemię i szczuty co kroku 
Wiecznie się o swe skrzydła olbrzymie potyka 


Charles Baudelaire ( est un poète français.